Lippi veut être l'Anti-Brésil

Calabrese Jeu 29 Juin - 18:06

Déclaration de Marcello Lippi sur le télétexte de la RAI,le soir de la qualification de la Squadra Azzurra,je veux être l'Anti-Brésil.

Promis,je vais éssaié de retrouvé l'article des que j'ai 5 min.

Voiçi ce que je viens de trouvé sur le net concernant l'entraineur du Brésil.

C'est pas du Bluff,il a entrainé le Ghana dans les année 60,n'a jamais été joueur,à entrainé des équipes dont il a été en coupe du monde,n'ont pas été champion,mais l'a été après une finale ennuyeuse entre l'Italie et le Brésil,et le pénalty raté de Roberto Baggio(qui nous a fait tant pleuré),et qui est la preuve que nous devions être champion du monde en 1994,ou Carlos Alberto Parreira est passé,ses équipes on été ennuyeuse à regardé......la preuve le Brésil d'aujourd'hui n'est pas tellement beau a voir,sera-t-il en pleine chute vertigineuse ?

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Mondial: Carlos Alberto Parreira, l'homme discret
jeu 29 jui, 16h30

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BERGISCH GLADBACH, Allemagne (Reuters) - Certains entraîneurs passent 90 minutes sur le bord du terrain à se ronger les sangs comme s'ils n'avaient qu'une hâte, entrer sur la pelouse et prendre le ballon.

D'autres changent d'équipe ou de tactique entre chaque rencontre comme si leur rôle était cent fois plus important que celui des joueurs.

L'entraîneur du Brésil Carlos Alberto Parreira, lui, reste assis sur le banc comme s'il attendait le prochain bus.

Il est parfois même difficile d'imaginer que cet homme tranquille porte sur ses épaules les espoirs de 180 millions de compatriotes fous de football et doive composer avec quelques-unes des plus grandes stars mondiales du ballon rond.

Mais il reste convaincu que dans un sport où les entraîneurs accaparent toujours plus l'attention, les joueurs demeurent les véritables vedettes.

"C'est ma façon de voir les choses. Je ne veux pas être au centre de l'attention. Je ne me sens pas l'aise avec ça, même si ça fait partie de mon travail."

"Au Brésil, ces deux derniers mois, j'ai été exposé bien plus que je n'aurais voulu. Mais c'est mon travail. J'essaie simplement de ne pas encore accroître cette exposition", disait-il mercredi à Reuters au lendemain de la victoire du Brésil 3-0 contre le Ghana en huitième de finale. La sélection auriverde affronte la France samedi en quart de finale.

PAS DE BLUFF

Parreira a débuté sa carrière d'entraîneur au Ghana dans les années 1960 et participe à sa cinquième Coupe du monde. Il l'a remportée en 1994 avec le Brésil. Il a entraîné le Koweït en 1982, les Emirats arabes unis en 1990 et l'Arabie saoudite en 1998.

Il n'a jamais été joueur professionnel et n'a que brièvement été entraîneur de grands clubs européens.

Il déteste les séances d'entraînement secrètes et les fréquents changements tactiques. Il martèle que son travail est de construire les meilleures fondations pour que s'épanouisse le talent des joueurs.

Parreira n'est pas un bluffeur, il avait annoncé l'équipe du match inaugural du Brésil contre la Croatie avec cinq semaines d'avance.

Mais il n'aime pas qu'on le juge trop prudent et entendre dire que les équipes qu'il compose ne représentent pas le vrai visage du football brésilien.

La victoire de la Seleçao en 1994, 24 ans après le précédent triomphe du Brésil en Coupe du monde, avait été critiquée parce que la finale avait été particulièrement ennuyeuse.

Les mêmes critiques reviennent quant à la prestation du Brésil en Allemagne, alors que l'équipe tenante du titre a enregistré quatre victoires consécutives, marqué dix fois et encaissé un seul but.

"Pourquoi seul le Brésil devrait jouer un football divertissant, et faire le spectacle?"

"Quand l'Allemagne marque, presse ses opposants et joue très vite, tout le monde dit que c'est efficace et beau à regarder. Je ne sais pas ce qu'on veut dire par faire le spectacle de toute façon. Pour moi, faire le spectacle, c'est marquer un but et obtenir des résultats."

"Il y a autre chose: le Brésil est l'équipe que tout le monde rêve de battre. Le Ghana jouait sa finale de Coupe du monde contre le Brésil. Nous jouions simplement un huitième de finale. Les autres équipes jouent avec un mental différent contre le Brésil. Et ça les motive d'une façon que vous ne soupçonnez pas."

Calabrese Jeu 29 Juin - 18:25

Mondiali, Lippi scherza sull'idea di "Italia fortunata"
Gio 29 Giu, 4:01 PM

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DUISBURG, Germania (Reuters) - L'allenatore dell'Italia Marcello Lippi ha ironizzato sulle illazioni riguardanti la fortuna che avrebbe assistito fino ad ora gli azzurri ai mondiali di calcio.

"Mi piacerebbe dire una cosa su tutte queste affermazioni sul fatto che siamo stati fortunati. Prima si è fatto male (Francesco) Totti, uno dei migliori giocatori del mondo, poi si sono infortunati (Gianluca) Zambrotta, (Gennaro) Gattuso, (Alessandro) Nesta. Per non parlare del casino immane delle inchieste sul calcio", ha detto il tecnico ai giornalisti.

"In più dobbiamo anche avere a che fare con problemi senza precedenti in Italia", ha aggiunto facendo riferimento allo scandalo che ha travolto il calcio italiano.

"Sì, si può dire che siamo stati veramente fortunati", ha scherzato l'allenatore dell'Italia alla vigilia della partita della sua nazionale con l'Ucraina ad Amburgo.

Lippi ha definito ingiuste le critiche piovute sulla sua squadra dopo la vittoria per 1-0 sull'Australia negli ottavi di finale, con l'Italia che ha vinto con un rigore all'ultimo minuto, e ha respinto la nozione di difensivisti che è stata associata agli azzurri per definire il loro approccio alle partite.

"Negli ultimi anni abbiamo fatto delle grandi partite dando la sensazione a tutta l'Europa e al mondo che avevamo instaurato un modo di giocare diverso (all'attacco) e con questo abbiamo cominciato anche questo mondiale", ha proseguito Lippi, ct di una squadra imbattuta da 22 partite e che ai mondiali di Germania ha subito solo un gol, con la propria porta mai violata da un giocatore avversario.

"Ora però è esagerato dire che dopo due o tre partite che non si gioca allo stesso modo per vari motivi si debba affermare che il calcio italiano è come sempre antico e retrogrado", ha detto Lippi che si è rifiutato di dare indicazioni sulla formazione che scenderà in campo nella partita di domani valida per i quarti di finale.

Calabrese Jeu 29 Juin - 18:28

Lippi: "Altro che antichi..."

"Per un anno, l'Europa e il mondo hanno riconosciuto che giocavamo un calcio moderno. Non sono sufficienti una o due partite giocate in modo diverso per trarre conclusioni. Dire che il calcio italiano è antico e retrogrado è esagerato. Con il Ghana, tra l'altro, avevamo giocato un calcio moderno". Marcello Lippi si toglie un sassolino dalla scarpa.
Il commissario tecnico azzurro, respinge al mittente le critiche della stampa internazionale alla vigilia della partenza per Amburgo, dove venerdì l'Italia si giocherà l'accesso alle semifinali nel quarto contro l'Ucraina di Shevchenko.

Calabrese Jeu 29 Juin - 18:30

Lippi: "Se vinciamo, poi..."

Non c'è solo l'accorata difesa del modulo e della "sostanza" del gioco azzurro nella conferenza stampa della vigilia di Marcello Lippi. "Se venerdì contro l'Ucraina nei quarti di finale vinciamo poi può succedere di tutto".
"Non siamo al limite delle nostre potenzialità e pensiamo di battere Shevcheno e compagni, ma se vinciamo poi non ci sono limiti al nostro cammino nel Mondiale" assicura il tecnico viareggino

Calabrese Jeu 29 Juin - 18:32

Buffon: "I rigori? meglio di no"

Il portiere della Nazionale Gigi Buffon, che sinora è stato uno dei grandi protagonisti del Mondiale, non vuole neanche sentir parlare di soluzione ai rigori per la partita contro l'Ucraina nei quarti di finale.
"Da bambino - ha detto il portiere dell'Italia - ho sempre sognato di vincere le partite ai rigori. Ma dopo la finale di Manchester non più. Se dovessimo andare ai rigori non guarderei i tiri dei miei compagni, mi emozionerei troppo".

Calabrese Ven 30 Juin - 3:54

E Pelè adesso ha paura

Pelè non crede più di tanto ad un Brasile vittorioso in Germania. "Ho brutti presentimenti" rivela "O'Rei" in un'intervista all'agenzia tedesca Dpa.
E spiega i motivi del suo pessimismo: "Primo, la Francia ha vinto contro di noi negli ultimi due match. Secondo, una sola nazionale sudamericana, il Brasile nel 1958, è riuscita a vincere un Mondiale organizzato in Europa. Terzo, i favoriti non hanno mai vinto una Coppa del Mondo".